Les White Mountains en hiver sont imprévisibles. Il faut être prêt à tout si on veut en redescendre… en vie. Oui oui, vous avez bien lu. Ça a beau être à seulement deux heures de route de Sherbrooke, on ne sait jamais ce qui peut arriver au sommet, même quand il fait beau en bas. J’ai parfois rebroussé chemin quand les conditions météo étaient trop intenses au-dessus de la cime des arbres.
Lire la suiteImaginez une course d’environ 80K et 5000 mètres de dénivelé positif dans des sentiers hyper techniques et rocailleux comme c’est pas possible. Juste pour vous rendre à la ligne de départ, vous devrez parcourir près de 6 kilomètres et 600 mètres de D+. À pied, bien entendu.
Lire la suiteMa montre vibre. « Hors parcours », qu’elle me dit. Encore… Je sors mon cell. Me localise sur la carte téléchargée (parce qu’ici, il n’y a pas de réseau, tsé). Je suis sorti du sentier. Encore… Je reviens sur mes pas, cellulaire à la main. Finis par retrouver la dernière balise rouge en forme de triangle. Il fait nuit noire. J’ai juste hâte de sortir du bois. Je tourne sur moi-même, à la recherche de la prochaine balise en forme de triangle marquée SF. Une balise qui réfléchit fuck all parce que ce sentier n’est absolument pas conçu pour être parcouru la nuit. Ni pour être couru tout court.
Lire la suite« Ben voyons, t’as même pas l’air content! Es-tu fier de toi au moins? » Ma blonde a le don de me poser les bonnes questions.
Lire la suitePas un, pas deux, pas trois, mais bien quatre litres de Coke. C’est ce qui m’a permis de ressusciter d’entre les morts et de surmonter le QMT 110, samedi. Lire la suite
« Tu as fait une ou deux doubles traversées? » Fuck. La question, posée tout bonnement par Kenny, de la boutique Le Coureur, a semé une graine de plan de marde dans mon esprit. Lire la suite